Acteur
Il est acteur et chanteur belge né au Zaïre, actuellement République Démocratique du Congo. 2015 a été une année faste pour lui. Son palmarès s’est enrichi de plusieurs prix : grâce notamment au film « Les rayures du zèbre » de Benoit Mariage pour lequel il reçoit le Magritte du meilleur espoir masculin. Il est nommé pour le César du meilleur espoir masculin pour le film « Qu'Allah bénisse la France » d’Abd Al Malik et pour le Prix Lumières du meilleur espoir masculin. La même année, il tient un rôle dans un des films de la saga James Bond, 007 « SPECTRE » et dans « Dheepan » de Jacques Audiard, rôle pour lequel il est nommé pour le Magritte du meilleur acteur dans un second rôle en 2016. Il a également joué pour les frères Dardenne dans « La Fille inconnue » et tient le rôle principal du film franco-belge « Bienvenue à Marly-Gomont » de Julien Rambaldi, où il interprète
un médecin zaïrois venu s'installer en France avec sa famille dans les années 70.
Président du jury
Réalisatrice
Lydie Diakhaté est productrice, réalisatrice de documentaires, critique d'art, commissaire d’expositions et de manifestations culturelles. Elle est spécialisée dans les arts et les cultures d'Afrique et de la diaspora africaine. Son parcours professionnel l’amène à travailler régulièrement sur trois continents : l’Europe, l’Afrique et l’Amérique. De plus, elle a une expérience de plusieurs années dans la conception, la programmation, le développement de partenariats et la production d’évènements internationaux notamment dans le secteur du cinéma et de l’image. Elle est la cofondatrice et directrice du Real Life Documentary Festival à Accra au Ghana (2006-2012). Parmi ses dernières réalisations, nous citerons dans la catégorie
documentaires : « The Lost Ancestors » « The Long Memory » «Some Bright Morning : the Art of Melvin Edwards ».
Membre du jury
Actrice
Rokhaya Niang, est une actrice aux multiples talents avec des compétences en danse, chanson et arts martiaux. Rokhaya Niang est née dans le chaleureux quartier dakarois de Front de terre. Elle rencontre très tôt la vie dans ce qu’elle a de tension et de mouvement : l’art, le sport, et ce précieux et tendre horizon qu’est l’espace amical et familial. Son premier rôle, qui est le principal, dans « Le Prix du pardon » du réalisateur sénégalais Mansour Sora Wade, révèle un talent plein de promesses. Le film remporte 17 prix sur le plan international. C’était en 2001, elle confirmera tout le bien que les critiques pensaient d’elle dans ses films suivants. En 2002 avec « Madame Brouette » de Moussa Sène Absa (Sénégal), qui remporte neuf prix dans de prestigieux festivals. Rokhaya Niang séduit et décroche plusieurs prix d’interprétation féminine notamment à Namur en 2003 et Carthage en 2004. Son succès lui vaut une belle carrière les années suivantes. Elle a ainsi joué dans des films comme « l’Appel des arènes » de Cheikh Ndiaye (Sénégal), « Un pas en avant, les dessous de la corruption » de Sylvestre Amoussou (Benin), « Soto Voce » de Kamal Kamal (Maroc), « La forêt du Niolo » de Adama Roamba (Burkina Fasso). Elle a prêté son image à plusieurs spots éducatifs au Sénégal (Sida, l’histoire de la place des tirailleurs à Dakar, la lutte contre les mines antipersonnel, etc.…).
Membre du jury
Cinéaste
Le réalisateur sénégalais a étudié en France, à l’Université Paris VIlI, où il obtient une maîtrise en cinématographie avant de retourner dans son pays où il dirige les archives audiovisuelles du Ministère de la Culture de 1977 à 1985. Il fait ses débuts de metteur en scène en réalisant des courts métrages pour la télévision nationale. Il est également à l'origine de divers documentaires et reportages pour TV5. En 2001, il réalise son premier long métrage fiction « Le prix du pardon », une adaptation d'un roman populaire sénégalais, qui lui vaut le Prix du Meilleur long métrage au Festival du Cinéma Africain de Milan, ainsi que le Tanit d'Or des Journées Cinématographiques de Carthage en 2002 et de multiples autres prix à travers le monde. En 2009, il signe son second long métrage, intitulé « Les feux de Mansaré ».
Membre du jury
Actrice
« Je suis Mara Taquin : l'aventure du cinéma m'est tombée dessus par hasard, suite à un casting sauvage devant mon école secondaire ». C’est ainsi que se présente Mara Taquin. À la suite de ce casing, Camille Mol lui propose alors d'interpréter le rôle principal de son film de fin d'études "Créatures". Après ce film, elle passe d’autres castings et participe à plusieurs projets tels que la série « Ennemi public », « Astro » de Lisa
Lapierre et plusieurs courts métrages. Dans la foulée, elle rencontre Christophe Hermans, avec qui l'évidence fut instantanée pour interpréter un des rôles principaux dans son premier long métrage « La ruche ».
Les projets se poursuivent avec « Rien à foutre », le premier long métrage d’Emmanuel Marre et Julie Lecoustre ou encore dans le film « Hors normes » d’Oliver Nakache et Eric Toledano et dans « After Blue » de Bertrand Mandico. Par ailleurs, elle a aussi fait du doublage pour le dessin animé « Petit vampire » de Joann Sfar. Elle tient aussi un rôle auprès de Vincent Cassel dans la série « 6 X Confiné.e.s : Scorpex » de So-Me.
Membre du jury
Cinéaste
Moussa Touré est un des grands noms du cinéma africain. Il est aussi bien à l’aise dans la fiction que le documentaire. Il commence très jeune sa carrière dans le cinéma en tant que technicien (électricien, assistant réalisateur).
En 1987, il réalise son premier court métrage «Baram», distribué en salle en France. Son premier long métrage «Toubab-bi» lui vaut une sélection officielle au Fespaco 1991 et sera primé de nombreuses fois. La même année, il crée sa société de production : Les Films du crocodile, avec laquelle il finance notamment ses différents documentaires, remarqués et récompensés dans de nombreux festivals. En 1997, il réalise « TGV », véritable succès populaire en Afrique. En 2012, sa carrière prend une autre dimension avec le film « La Pirogue » qui parle de la traversée clandestine vers l’Europe à bord d’embarcations de fortune, de jeunes africains. Un film qui lui a valu des dizaines de prix et nominations à travers le monde. Moussa Touré est également comédien, il a ainsi joué dans plusieurs films. Il fait aussi la promotion des jeunes talents. En 2002, i l a initié le festival « Moussa invite » à Rufisque et à Mbao en banlieue de Dakar. Ce festival fait la place belle aux documentaires réalisés par des jeunes sénégalais et Africains.
Président du jury
Réalisateur
Membre du jury
Journaliste
Bigué BOB est une journaliste sénégalaise. Après une licence en journalisme à l’institut supérieur d’Entrepreneurship et de gestion (ISEG), elle fait un master en communication à l’Institut de Management et de Communication (IMC). Elle suit également une formation accélérée en communication au Centre d’Etudes des Sciences et Techniques de l’Information (CESTI). Bigué Bob est actuellement la rédactrice en cheffe du journal « Enquête ». Amatrice de septième art, elle est membre de l’Association Sénégalaise des Critiques de Cinéma (ASCC) dont elle est d’ailleurs la chargée de formation. Ce qui lui a permis de participer à divers ateliers de formation pour la critique. Elle a aussi eu la chance de couvrir de grandes rencontres cinématographiques sur le continent.
Elle a aussi été membre de plusieurs jurys et concours nationaux et internationaux.
Membre du jury
Créatrice de mode
Nafissatou Diop « Nafytoo », est non seulement créatrice de mode mais également CEO de sa marque de lingerie NAFYTOO et Directrice de publication.
Innovatrice, celle que l’on surnomme « l’ambassadrice de la légendaire séduction sénégalaise » a été leader dans le domaine de la lingerie africaine pendant 20 ans avant de se tourner vers d’autres horizons. Dans les années 90, Nafytoo, alors étudiante en comptabilité à Paris, assiste par hasard à un défilé de fin d’année d’une école de stylisme. La jeune Sénégalaise ressent comme une évidence. Elle abandonne ses études de comptabilité. Oubliée la machine à calculer, vive la machine à coudre ! Nafytoo s’inscrit au Centre de formation des modélistes pour deux ans. En 1997,
elle rentre au Sénégal et lance alors la marque Nafytoo. En 2006, Nafytoo est la première marque africaine à participer au prestigieux salon international de la lingerie à Paris.
Aujourd’hui, la marque a décidé de se rénover en changeant de casquette afin de s’adresser aux hommes et leur propose la publication « L'Homme
Actuel Magazine » créée pour les distraire tout en leur prodiguant des conseils.
Membre du jury
Chanteuse
Queen Biz, est une artiste musicienne sénégalaise. Elle a démarré dans des groupes avant d’entamer une carrière solo.
A son actif, elle a déjà plusieurs collaborations avec de grands artistes sénégalais comme Wally Seck, Mbaye Dieye Faye, Salam Diallo. Elle a participé à plusieurs festivals au Sénégal et à l’international. En 2013, Queen Biz joue au siège des Nations Unies à New York dans le cadre de la journée mondiale de la lutte contre la f i s t u l e obstétricale. La même année, elle est invitée au « Grand Bal » de Youssou Ndour à Bercy (France).
Elle chante en wolof, en français, en anglais et en mandingue, sa langue maternelle. Son aisance dans plusieurs styles musicaux tels que le Rap, le RnB, le Reggae, l’acoustique et le Mbalakh en font une artiste polyvalente dont le talent n’est plus à confirmer. Perfectionniste et déterminée, elle a encore surpris son monde avec son 3e album « Puissance 3 » (2018).
Elle y collabore avec des artistes internationaux tels que Chidinma du Nigeria, Ariel Sheney de la Côte d’Ivoire et Soul Bangs de la Guinée. Ce qui lui a valu de signer un contrat de 3 ans avec le groupe Trace Tv de Paris pour la gestion de sa carrière Internationale. Queen Biz a remporté plusieurs prix et distinctions dont celui de « Best Female Artist of Africa 2019 » à l’African Talent Awards à Abidjan.
Membre du jury
Boulevard Martin Luther King Ex Corniche Ouest
Dakar, Sénégal
Email: secretariat@fifb.be